03 mai 2004
Après ce séjour quelque part entre Venise, Florence, Bologne, Rome et Bari,
après une écoute assiduë (et obligatoire) de la langue italienne, de ses intonnations et de ses couleurs, je suis arrivé à la conclusion que la rédaction et surtout le chant de morceaux en italien était de la pure folie. Le résultat risque en effet d'être tellement ridicule que je préfère m'abstenir, ou du moins reporter ce projet à une date ultérieure, quand je serai plus à l'aise avec cette langue dont je ne connais que les rudiments les plus primitifs.
En guise d'exemple, disons que lorsque je demande au bureau de tabac deux paquets de Marlboro ("due Marlboro"), on comprend d'emblée que je suis français... quand on me comprend.
Restons donc calme, étudions et voyons ce qui se passe.
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